Edito de @enquetemedia : Ado sans solutions

Après la pilule amère de l’augmentation du coût de l’électricité, on est en train d’enlever le pain de la bouche de cette Côte d’Ivoire d’en bas qui vit au jour le jour. Alors que sous les coups de boutoirs des bulldozers, la face de la capitale économique se transforme, vendeurs à la sauvette, petits commerçants, tenanciers de maquis en bordure de route ne savent plus à quel saint se vouer.